Armando ne court pas, lui!
Armando ne court pas. Il photographie les feuilles qui sont solidement accrochées aux arbres. Ce n’est pas comme ça qu’il va faire de l’exercice…
Armando ne court pas. Il photographie les feuilles qui sont solidement accrochées aux arbres. Ce n’est pas comme ça qu’il va faire de l’exercice…
On aurait vu Denise courir après des feuilles… De plus, il semble bien qu’elle ait réussi à les stopper en plein vol pour qu’elles posent le temps d’une photo. Elle est forte, notre Suissesse!
Cette semaine, nous débuterons nos journées en nous promenant dans la forêt de Fontainebleau, grâce à la complicité de Chantal qui a réalisé une bien jolie série de clichés pour le pays de Lali. Ne me dites pas que ce sera pas une belle semaine quand elle commence par une promenade!
Peut-être que quand je sortirai du bureau je regretterai cette heure qui m’est donnée ce matin, maintenant que nous avons nous aussi reculé nos montres et nos horloges. Mais pour le moment, cette lumière matinale me ravit. Et je souris. Exactement comme la lectrice de Karen Kinser. Même sans bol de céréales.
Entrez. Pas besoin de regarder par la serrure avant, comme le personnage peint par Soizick Meister. Prenez vos aises, même. Les commentaires sur la toile de la semaine dernière sont ici. Quant aux toiles de cette cette semaine, car il y en a trois, elles sont là.
Je crois que la pléiade de journalistes et de personnages qui ont défilé pour commenter les nouvelles débridées et les citations sur la lumière méritent bien les roses que j’ai croisées il y a quelques jours. Ils se sont défoulés, ils ont été inventifs, ils m’ont fait rire et je crois qu’ils ont aussi beaucoup ri parce que je les entendais jusqu’ici! Que cette semaine qui commence nous permette de continuer à sourire, à rire et à nous émouvoir. Et à nous prendre au sérieux le moins possible…