Une pause

Une pause. Tel est le titre de cette photographie prise par Edita Aleksandravičienė.
Il ne me semble pas m’être déjà endormie la tête sur une pile de livres, mais livre à la main, plus d’une fois!
Une pause. Tel est le titre de cette photographie prise par Edita Aleksandravičienė.
Il ne me semble pas m’être déjà endormie la tête sur une pile de livres, mais livre à la main, plus d’une fois!
Si jamais vous passez par Hay-on-Wye, au pays de Galles, prenez le temps de vous arrêter à la librairie Addyman Books. Je suis certaine que s’y trouvent des trésors qui n’attendent que de trouver les propriétaires qui prendront soin d’eux! Un bel envoi de mon amie Brenda.
Je ne me lasserai jamais des livres, des coquelicots, des 2 CV et des tulipes. Et quand une carte postale me donne l’occasion de découvrir qui se cache derrière, c’est encore mieux. C’est donc avec plaisir que je vous invite à découvrir Candida Höfer.
La photo a été prise à Québec en 1905. Et c’est une de mes photos d’époque préférées. Je ne peux donc que remercier l’éditeur qui a pensé à en faire une carte postale.
C’est à Nevers que mon amie Lilas a photographié la devanture et l’enseigne de la librairie jeunesse Les Gens de la lune, laquelle m’a fait découvrir
l’Association des Librairies Spécialisées Jeunesse, qui regroupe 48 librairies qu’on appelle aussi les Librairies Sorcières.
Superbe trouvaille que je partage avec vous. Qui sait s’il n’y a pas une telle librairie près de chez vous?
On peut y prendre un café, y lire.
On peut aussi se brancher au Wifi.
Et surtout, on peut y faire son lavage.
Il suffit pour cela de s’arrêter à La buanderie Le Petit bas perdu, rue Saint-Denis, à Montréal.
Quand Armando a vu ces figurines dans une boutique consacrée aux bandes dessinées, il s’est empressé de les immortaliser pour le pays de Lali. Quelle belle idée!
C’est peut-être le côté éphémère des tulipes qui fait leur charme. C’est peut-être aussi la raison pour laquelle j’ai mis de côté ces photos prises il y a six semaines de la devanture de la librairie Paragraphe de l’avenue McGill College, que Sonia et moi fréquentions lorsqu’elle étudiait à l’Université McGill, à deux pas de là.
Elle est tellement absorbée par son livre qu’elle n’a pas vu l’autobus à un coin de rue de là. Je me demande bien ce qu’elle lisait ainsi…