Lali

J’adore les cartes anciennes, mais j’aime aussi énormément les réimpressions de telles cartes. Comme celle-ci, envoyée par Sylvia, nous montrant la plage de l’île de Norderney, en Allemagne, vers 1895-1900.

Peu de romans lus avec ivresse à vingt ans plaisent à quarante. C’est un peu pour cela qu’il faut les relire, pour se rendre compte de soi, pour s’analyser, pour se connaître par comparaison et pour savoir ce qu’on a perdu. (Émile Faguet)

*toile de Katia Goa

Je suis fan des toiles de la religieuse Maria Innocentia Hummel depuis que je suis toute petite. Probablement parce que mon oncle et ma tante m’avaient offert un cadre reproduisant une de ses scènes d’enfance, alors que je devrais avoir quatre ou cinq ans. Il est sûrement dans ma boîte aux trésors, que je n’ai pas ouverte depuis longtemps… Je ne pouvais donc qu’aimer cette carte postale envoyée de Berlin par Gittie.

Il n’est de plus grande agonie que de garder une histoire tue en soi. (Maya Angelou)

*toile de Marion Hallbauer

Au hasard d’une promenade sur la toile, découverte d’un artiste qui m’était inconnu. Et l’envie de partager avec vous les toiles de Dariusz Milinski mettant en scène la lecture.

C’est à la Casa Batllo, à Barcelone, que se trouve ce siège imaginé par Antoni Gaudí. Pas question de s’y asseoir en ce moment. En effet, l’éloignement physique de deux mètres n’est pas respecté!

On écrit pour exprimer ce dont on ne peut pas parler, pour libérer tout ce qui, en nous, était empêché, claquemuré, prisonnier d’une invisible geôle. (Jérôme Garcin)

*toile de Fujishima Takeji

Une lettre écrite en 1823, une plume, un encrier. Une superbe composition. Une photo de Sergey Yarochkin. Une magnifique carte postale envoyée des Pays-Bas par Sophie.

Il y a des moments de la vie où il n’y a rien d’autre à faire que compter sur les grandes eaux de nos dangers pour amener sur la berge ce qui doit être ramené. Qu’est-ce que la berge, on ne le sait pas vraiment. Peut-être l’endroit où nos vies sont racontables. (Marion Muller-Colard)

*toile de Maxwell Doig

Il n’y a réellement de repos que dans la solitude absolue. (Maxime Du Camp)

*toile de Popo Singh