La vallée de Soča
Selon mon amie Sofie, qui l’a vue de près, l’eau de la Soča, en Slovénie, a bien cette couleur turquoise.
Selon mon amie Sofie, qui l’a vue de près, l’eau de la Soča, en Slovénie, a bien cette couleur turquoise.
J’aime m’attarder aux détails, à ce qu’on ne voit pas immédiatement, à ce qui dépasse le premier coup d’œil. Le choix de Zarina de me montrer le heurtoir de l’Académie Stieglitz, à Saint-Pétersbourg, était une excellente idée.
Je n’ai pas réussi à trouver qui est à l’origine de cette création inspirée par ce qu’on trouvait sur le mur de Berlin. Je sais seulement que la date du 9 novembre 1989 y est inscrite et que celle-ci est inoubliable.
Dans le sens des aiguilles d’une montre, voici les phares de Fastnet, d’Inisheer, de Fanad et de Hook.
Ce décor vous dit quelque chose, mais vous n’arrivez pas à savoir pourquoi? Si je vous disais que ce pont, vous l’avez vu d’un autre angle dans une toile très connue… C’est en effet celui qu’on retrouve dans Le cri, du peintre Edvard Munch, dont voici Les dames sur le pont.
Je connaissais le lac de Garde, de même que le lac de Côme. Mais j’ignorais l’existence du lac d’Iseo. C’est Silvia, qui y était récemment, qui me l’a fait découvrir par l’entremise de cette affiche d’époque, illustrée par G. Capra.
Alors que je viens à l’instant de valider les textes déposés sur la scène livresque de dimanche dernier, je vous propose cette semaine de donner vie à ces personnages imaginés par l’artiste bulgare Lyubov Toteva.
Aucun commentaire ne sera visible avant dimanche prochain, comme le veut l’habitude. Vous avez donc sept jours devant vous pour nous raconter ce que cette scène évoque pour vous.
D’ici là, portez-vous bien. Que la dernière semaine d’octobre vous offre de nombreuses occasions de sourire et de vous émouvoir!
Sissel, qui m’a envoyé cette carte, m’a écrit qu’elle aussi aimait les fenêtres, d’où son choix pour cette carte, un exemple des fenêtres typiques de la Norvège arctique.
Le marché Champlain, à Québec, dont on parle beaucoup en ce moment à l’occasion des élections provinciales, a été démoli en 1910. Il revit grâce à une carte postale d’époque, envoyée en 1906, dénichée il y a quelque temps dans un bazar ou un marché aux puces,
Je n’ai jamais vu le film Autant en emporte le vent. Du moins en entier, puisqu’il me semble m’être endormie au bout d’une dizaine de minutes un soir où il était présenté à la télé quand j’étais adolescente. Mais je connais le nom des deux personnages principaux.
La Scarlett O’Hara de l’illustratrice italienne Silvia Dotti sur carte postale m’a donné l’occasion de faire connaissance avec cette artiste. À votre tour, maintenant!