2CV bien chargée
Une 2CV pour transporter du pain!
Vous la trouverez à l’entrée de la Boulangerie de Froment et de Sève, rue Beaubien, un de mes lieux de prédilection… et de gourmandise.
Une 2CV pour transporter du pain!
Vous la trouverez à l’entrée de la Boulangerie de Froment et de Sève, rue Beaubien, un de mes lieux de prédilection… et de gourmandise.
Dommage qu’il n’en reste plus une miette! Mais heureusement, une escapade à la boulangerie de Froment et de Sève est au menu d’ici quelques jours. Et ce soir, il y aura dans mon assiette une pointe de sa délicieuse quiche aux lardons et champignons. La vie a du bon, finalement!
Depuis que je suis entrée à la Maison Cakao, rue Fabre, il y a deux semaines, je sais que je n’irai plus ailleurs. J’ai trouvé « ma » chocolaterie et ma chocolatière, toute jeune et passionnée avec laquelle vous pouvez faire connaissance en lisant cette entrevue. Moi, je cours déguster mes chocolats aux jolis noms de Cortez, Félix, Gianduja et Arlequin
À une ficelle au bleu bénédictin de l’abbaye Saint-Benoît qu’on trouve chez Arhoma, vous dirai-je. Vous voulez goûter?
Ah les plaisirs du dimanche dont on conserve un souvenir impérissable le lundi matin. Et comme une photo vaut mille mots, permettez-moi de vous offrir des photos de trois plats qu’on trouve au menu des petits déjeuners du Valois, dont je vous ai déjà fait l’éloge ici.
Entre l’omelette du chasseur, les crêpes au jambon et au cheddar vieilli, les œufs en cocotte aux épinards et champignons caramélisés et le reste du menu tout aussi alléchant, vous aurez du mal à choisir et vos papilles s’en souviendront encore le lundi…
La nouvelle a peut-être fait boule de neige depuis qu’elle a paru dans Le Paris de Chrystine Brouillet en 1996. En effet, la vue du toit de La Samaritaine sur Paris est exceptionnelle. C’est d’ailleurs l’auteure du livre qui m’a entraînée là un jour du printemps de 1989. Un must, disait-elle. Elle avait raison. Espérons maintenant que les travaux qui ont cours en ce moment ne feront pas en sorte d’interdire un accès futur au toit.
*toile de François Batet
Nous sommes arrivés les premiers. J’ai donc pu photographier à mon aise la terrasse du Pèlerin-Magellan que j’aime tant. Les images parlent d’elles-mêmes, non? Mais si vous ajoutez au décor une assiette avec une bavette bordelaise, des frites (des bonnes, le patron est belge) et une salade, vous toucherez presque au paradis. Et si de plus, vous vous laissez tenter par la crème brûlée au bleuet, vous êtes encore plus près. Et si vous aimez les voyages et que vous découvrez avec ravissement que tout le décor est axé autour du monde des découvreurs et que vous trouverez là instruments anciens de navigation comme cartes géographiques d’une autre époque, là c’est certain, vous êtes au paradis. Plus aucun doute. Au fait, le paradis est au 330, rue Ontario est, Montréal.
J’adore aller à la Grande Bibliothèque. C’est la plus merveilleuse des cavernes d’Ali Baba de Montréal. S’il n’y avait pas la restriction de quinze documents à la fois (dont seulement trois CD), je serais repartie les bras encore plus pleins…
Et un jour où j’aurai davantage de temps devant moi, je profiterai des fauteuils qui me semblent très confortables ou des tables aux jolis éclairages. Et je me mêlerai aux personnages peints par Bascove.
Il fait si bon chez maripositas et j’ai passé un si joli moment chez elle que j’ai envie de la remercier en déposant ici pour elle cette photo prise au mois d’août au Jardin botanique de Montréal. D’autant plus que ça met un peu de couleur dans cette journée où le ciel n’en finit pas d’être blanc.