Le mois de décembre nous ayant offert de la neige, du grésil, de la pluie, du verglas et de la grêle, parfois au cours de 24 heures, cette photo de la rue Champagneur, prise par Michel Bazinet (une des nombreuses cartes qu’il m’a offertes le printemps dernier) m’a semblé de criconstance pour terminer l’année.
Quand on reste au chaud, qu’il y a du thé et des biscuits, on peut passer des heures à naviguer sur la toile. C’est ainsi que j’ai découvert l’illustrateur 9Jedit que la lecture semble inspirer.
Pour oublier les écarts de température, les nuits où il vente et pendant lesquelles le mercure atteint péniblement quinze degrés sous zéro, alors qu’on nous annonce 5 degrés le lendemain, si on partait pour la Martinique? Le Diamant nous attend…
J’ai eu le bonheur de partager avec vous quelques tableaux de l’artiste Patricia Couton que m’a fait découvir mon amie Anémone. En voici un autre. Une invitation à visiter Bruxelles.
Banksy, qui n’a plus besoin qu’on le présente, a confirméqu’il est bien l’artiste qui a réalisé sept nouvelles murales en Ukraine. Mon ami John a créé des cartes postales mettant en vedette six d’entre elles. Je devais aboslument les partager avec vous. Les voici donc.
Me voilà en congé pour six jours. Sans me brancher à l’ordi du bureau. Sans lire mes courriels professionnels. Sans communiquer avec mon équipe. Choses que j’ai faites la semaine dernière, même si j’étais en vacances.
Je n’ai pas eu le choix. Il m’a été impossible de tout régler avant le 16 décembre à 17 h. Mais bon, je n’ai pas travaillé plus d’une heure par jour, question de régler une certaine quantité de détails et de problèmes divers pour ne pas avoir à le faire le 3 janvier.
Mais là, pas question de jeter un œil à ce qui m’attend avant le premier mardi de janvier. Nos bureaux d’un bout à l’autre du pays sont fermés pour la semaine.
Lecture, envoi des dernières cartes de souhaits, farniente. Voilà comment j’utiliserai cette semaine de vacances. Ça pourrait être pire, non?