Si vous passez par Madrid, arrêtez-vous à la librairie Libros Para Un Mondo Mejor (Des livres pour un monde meilleur), que fréquente Lana, qui a choisi cette carte à mon intention. Je crois que cet endroit vous séduira.
Un grand amour, n’est-ce pas une grande amitié? Comment s’aimer sans cette confiance, sans ce désir chez chacun du meilleur pour l’autre, sans une écoute réciproque, et le partage du bon comme du moins bon? (Catherine Bensaïd)
Au fond, je suis curieuse de tout. C’est peut-être la raison pour laquelle j’aime tant les cartes postales. En effet, chacune a sa propre histoire et m’apprend quelque chose.
Ces polyèdres font partie de la collection du Musée d’Ipswich, fondé en 1847 et actuellement fermé en raison des rénovations en cours. J’adorerais les voir en vrai, mais je crois que ça attendra 2025, date de réouverture du musée.
Mon amie Chantal, qui vit à Brest, et avec qui j’ai renoué il y a quelques mois pour mon plus grand plaisir, m’envoie régulièrement des cartes postales. Voici la plus récente, une illustration de l’artiste Jean-Pierre Arcile. Tout à fait dans mes goûts, comme vous vos en doutez sûrement.
Je me demande si Chantal a eu l’occasion de lire ce billet qui lui était consacré il y a bien longtemps…
Pendant une journée, on n’a parlé que de cela. De la fumée qui a envahi le ciel à la suite des feux de forêt qui sévissent depuis des semaines.
Ce jour-là, le 25 juin plus précisément, la ville de Montréal a été décrétée la ville la plus polluée au monde. J’ai donc porté un masque pour faire les courses, comme je le fais encore même si ce n’est plus obligatoire. Et puis, le 26, Montréal a repris sa place habituelle de ville la plus polluée au Canada. Mais de cela, on n’en parle pas. On s’extasie devant le rose des levers de soleil alors que cette ligne à l’horizon est une preuve de pollution atmosphérique obtenue par la présence de dioxyde de carbone.
De cela, il ne faut pas parler. Mais j’en parle quand même.
Le palais royal de Caserte est souvent comparé au château de Versailles, et il vaut la peine qu’on s’y arrête quand on est dans la région, selon mon amie Sofie, qui y était récemment. Mais ses jardins n’ont pas la splendeur de ceux de Versailles selon elle. Par contre, la salle du trône, qu’on voit ici, est l’un des éléments remarquables du palais, raison pour laquelle elle a choisi cette carte pour moi.
Prenez le temps chaque jour de réfléchir aux plaisirs simples de la vie. Chaque journée bien vécue transforme hier en un souvenir de bonheur.(Dominique Loreau)
Je ne pense pas que je serais en mesure d’expliquer de façcon rationnelle pourquoi cette image me plait tant, ni pour quelles raisons ce nœud possède quelque chose de poétique. Mais cette carte est parfaite pour montrer le lien qui m’unit à mon père, qui fête aujourd’hui ses 86 ans.
La chaleur est écrasante et étouffante à Montréal en ce moment. Je serais donc beaucoup mieux sur une plage que n’importe où ailleurs, à l’instar de la lectrice de l’artiste polonaise Iza Dudzik.
Je vous propose donc de la faire vivre en vos mots, comme vous le faites semaine après semaine. Et comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain.
Vous avez donc sept jours devant vous pour lire les textes déposés sur la scène livresque de dimanche dernier et pour écrire quelques lignes. C’est avec plaisir que nous vous lirons.
D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent!