Lali

Une belle photo d’ambiance, avec un côté rétro qui me plait bien, prise par la photographe ukrainienne Maryna Nazina.

Les cartes sont arrivées à quelques jours d’intervalle. L’une en provenance d’Allemagne, l’autre de France. Il y a de quoi sourire devant une telle similitude, non?

Le bonheur, à mes yeux, c’est la capacité de se satisfaire de ce que l’on a et, chaque jour qui passe, de continuer à apprécier ce que l’on a obtenu, plutôt que de toujours chercher à avoir ce que l’on n’a pas. (Paul El Kharrat)

*toile de Brita Barnekow

J’ai croisé les illustrations de l’artiste espagnole Mar Hernandez au fil de mes promenades. Je n’ai pas pu résister à la tentation de vous en offrir quelques-unes.

J’aime beaucoup la peinture dite naïve. Et ce marché aux fleurs de Lausanne, de l’artiste Kristin Helberg, a tout pour me plaire@

Les oiseaux. L’occasion de découvrir l’artiste japonaise Mimo Hirai.

Alors que je viens à l’instant de valider les textes déposés sur l’illustration de dimanche dernier, parmi lesquels un po`ème signé Cavalier, que je retrouve avec plaisir après quatre ans d’absence, je vous propose cette semaine d’animer une illustration de l’artiste Sofia Venzel, mettant en scène une lectrice qui semble beaucoup aimer les chats.

Aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain, ce qui vous laisse amplement le temps d’imaginer une histoire, comme vous le faites si bien semaine après semaine.

C’est avec plaisir que nous vous lirons dans sept jours. D’ici là, bon dimanche à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.

Certains jours, on a juste besoin de couleurs. Et l’univers de l’illustratrice Irene Blasco s’offre à nous. Un véritable cadeau.

C’est ici, à Elmira, dans l’État de New York, dans ce qui a des airs de kiosque à musique, mais qui n’en est pas un, que Mark Twain a écrit plusieurs de ses livres, notamment Adventures of Huckleberry Finn.

Le bureau octogonal fait partie de l’Elmira College Center for Mark Twain Studies. Encore un endroit que j’aimerais visiter un jour. Pourquoi y en a-t-il tant?

J’ai un gros faible pour les collages. Je me dis d’ailleurs qu’un jour je vais (enfin) trouver le temps de m’y mettre et de créer des cartes postales uniques en utilisant tout ce que j’ai accumulé au fil des ans dans ce but.

Pour le moment, je me contente de me réjouir de celles que je reçois, qu’elles soient de fabrication artisanale ou imprimées à partir de collages, comme celle-ci, en provenance de Taïwan.