La lectrice d’Armand A. Assante a l’air de lire. Mais je n’y crois pas trop. J’entends jusqu’ici la chanson de Jean Vallée qu’elle écoute en boucle depuis des heures :
Je t’aime à tort et à travers
Par terre sur mer et dans les airs
Je t’aime envers et contre tout
A l’envers à l’endroit partout
Je t’aime j’t’adore j’t’ai dans mes rêves
A d’venir chien à d’venir chèvre
Je t’aime amour à en mourir
Je t’aime je t’aime comme je respire
Il n’est pas un pouce de tes reins
Il n’est pas une ligne de ta main
Dont je n’connaisse la douceur
Dont je ne sache la chaleur
Je t’aime à tort et à travers
Traverse-moi de tes hivers
De tes saisons de tes envies
Traverse-moi toute ma vie
Je t’aime à tort et à raison
Tu es le fruit de ma passion
Et qu’on me laisse fou à lier
Suivre ma tendre traversée
Il n’est pas l’ombre d’une ombre au tableau
Pas une fausse note pas un faux numéro
Qui vienne abîmer le décor
Qui vienne désemparer ton corps
Il n’est pas l’ombre d’une ombre au tableau
Pas une fausse note pas un faux numéro
Qui vienne abîmer le décor
Qui vienne désemparer ton corps
Je t’aime à tort et à travers
Traverse-moi de tes hivers
De tes saisons de tes envies
Traverse-moi toute ma vie
Je t’aime à tort et à raison
Tu es le fruit de ma passion
Et qu’on me laisse fou à lier
Suivre ma tendre traversée