Un recueil sur la solitude 2
La lectrice du peintre belge Alfred Stevens n’avait jamais entendu parler du poète québécois Jean-Marc Desgent. C’est donc sans idées préconçues qu’elle a parcouru On croit trop que rien ne meurt et qu’elle a retenu ceci :
Le cœur est un hasard… Le seul qui demeure.
Alors, je fais, pour penser beaucoup et vite, la tête humaine lointaine.