Les mots de Francis D. 5
On ne peut pas toujours expliquer pourquoi une phrase nous touche et pas une autre. Enfin pas comme celle qui vient de nous bouleverser, qui vient de déplacer les paramètres de l’absolu, comme savent si bien le faire certaines de La longue course de Francis Dannemark. Et qui ont fait s’arrêter la lectrice d’Edward O. Stewart.
Rien n’est plus beau, disait-il, rien n’est plus juste qu’un mouvement du cœur, et il n’oubliait pourtant pas que le cœur est capable aussi de très étonnants faux mouvements, dont on sort comme un boxeur qui a tout pris dans le buffet et qui compte les étoiles comme autant de rêves pulvérisés.