Les poèmes de Djamal 6
Toi en filigrane
séditieuse respiration
miroirs aux contours
imprécis
Quelle illusion se dévoile
à l’approche de la première
mobilité
notre amour qui ne ressemble
pas aux autres
et qu’on n’imagine pas
Je ne cesserai jamais de
me mouvoir dans les nappes
de notre symphonie
dans l’attente d’une nouvelle
révélation.
Djamal Amrani, La nuit du dedans
*choix de la lectrice de Pierre Pivet