
Il y a décidément quelque chose qui ne m’a pas touchée ou que je n’ai pas compris quand j’ai lu Mon papi, lequel raconte le déménagement d’un vieil homme du domicile qu’il habitait seul depuis des années à une maison destinée aux « gens de son âge ».
Curieusement, accepter ce changement ne semble pas avoir dérangé outre-mesure le vieil homme, lequel a un lien « tissé serré » avec sa petite-fille et est toujours là pour la consoler de tous ses chagrins. C’est le fait d’avoir abandonné son chien Biscotte qui semble l’affecter le plus.
Je n’ai donc pas du tout compris le propos de cet album, du reste assez peu intéressant visuellement, ce qui me pousse à croire que le sujet a été mal amené. C’est en effet à la toute fin qu’on nous explique que le but de ce livre est nous montrer la détresse des gens âgés qui doivent se séparer de leur animal de compagnie alors que j’avais cru qu’on allait plutôt parler du placement des personnes en perte d’autonomie.
En bref, on appelle cela un album qui a raté sa cible.