Au lieu d’aborder des îles, je vogue donc vers ce large où ne parvient que le bruit solitaire du cœur, pareil à celui du ressac. Rien ne dépérit, c’est moi qui m’éloigne, rassurons-nous. Le large, mais non le désert. (Colette)
*toile de Bascove
Au lieu d’aborder des îles, je vogue donc vers ce large où ne parvient que le bruit solitaire du cœur, pareil à celui du ressac. Rien ne dépérit, c’est moi qui m’éloigne, rassurons-nous. Le large, mais non le désert. (Colette)
*toile de Bascove
La quiétude… C’est le bien de ceux qui ont à jamais choisi une part de leur destin, et rejeté l’autre. (Colette)
*toile d’Indira Bailey
Vivre sans bonheur et n’en point dépérir, voilà une occupation, presque une profession. (Colette)
*toile de Frances Foy
C’est à Édouard Manet que nous devons la lectrice de ce dimanche que je laisse à vos bons soins toute une semaine afin que vous puissiez la raconter en vos mots, comme vous savez toujours si bien le faire.
Puisse-t-elle vous inspirer, c’est tout ce que je souhaite.
À dimanche prochain!
Notre vie difficile et troublée a plus que jamais besoin d’images sereines. Plus que jamais nous aimons un certain romanesque scientifique, figuré sur les pages des belles entomologies, avec tous les attraits d’une féerique vérité. (Colette)
*toile de Nancy Rhodes Harper