Naissances 1
Elle lève les yeux et la brise s’arrête,
Elle baisse les yeux, la campagne s’étend,
Elle tourne la tête une rose se prend
Au piège et la voilà qui tourne aussi la tête
Et jusqu’à l’horizon plus rien n’est comme avant.
Jules Supervielle, Naissances
*choix de la lectrice de William Orpen