Porte dérobée 5
Tout imaginer : la tempête et son épuisement.
Joindre les mains dans le silence des âmes frileuses.
J’ai froid, infirme de toi comme du monde.
Louise Deschênes, Porte dérobée
*choix de la lectrice d’Antoine Passemard
Tout imaginer : la tempête et son épuisement.
Joindre les mains dans le silence des âmes frileuses.
J’ai froid, infirme de toi comme du monde.
Louise Deschênes, Porte dérobée
*choix de la lectrice d’Antoine Passemard
C’est des États-Unis que m’est parvenue cette carte mettant en scène une très jolie cour intérieure de Rome. Craig, qui me l’a envoyée, me raconte qu’il a eu accès à plusieurs de ces cours grâce à un guide qui connait la ville comme sa poche et qu’elles sont presque toutes aussi belles, colorées et pleines de vie que celle-ci.
C’est en avant la tête bien vissée sur les épaules que l’on peut s’offrir le luxe de s’envoler vers ses rêves. (Nicolas de Crécy)
*toile d’Erna Y.