Les mots de Francis D. 14
Elle n’a retenu que la fin du poème de Francis Dannemark. Sur lequel elle s’est attardée longtemps. Longuement. La lectrice de Jean Pesce a été séduite.
Il faudrait noter cela : les nuages
impossibles à noter, leur beauté extravagante,
et le dérisoire décompte kilométrique d’une vie.
Il faudrait écrire, et rien d’autre,
une lettre d’amour.
Je crois bien que je vais craquer pour acheter ce magnifique recueil de poèmes ! Tant c’est beau.
Comment by Denise — 27 août 2008 @ 10:00