Et parfois, je lui ressemble
Il aime tellement la nuit qu’il lui arrive de se coucher tôt pour pouvoir se lever au beau milieu de celle-ci pour en profiter. Le personnage peint par José Segrelles sort alors des livres, se met à écrire des pages et des pages. Plus rien ne l’arrête. Il est dans le bonheur de la noirceur bienveillante. Comblé. Et parfois, il en oublie même que le jour va venir tant il est dans une idée qu’il lui faut développer. Et parfois, je lui ressemble.