Écrire des silences
J’écrivais des silences, des nuits, je notais l’inexprimable. Je fixais des vertiges. (Arthur Rimbaud)
Est-ce à cette phrase que songe le personnage de Federico Zandomeneghi dans cette nuit où les mots jaillissent? N’est-ce pas cette phrase qui anime quiconque écrit?

Quand un sentiment est inexprimable, dupé par le désir que l’on a de l’autre, c’est de l’amour, n’est-ce pas ? [Dominique Blondeau]
Commentaire by Armando — 8 octobre 2007 @ 16:32