Les vers d’Odette 1
Château de sable
les vagues lourdes de la mer
recouvrent au passage
mon corps nu de toi
les joncs s’en vont
nulle part et partout
clapotis de l’ennui qui brise
clous de l’eau dans la cale déserte
ailes arquées de la mouette pleureuse
de quel nom cette peine nommer
Odette Parisien, On entend toujours la mer
*choix de la lectrice d’Alexander Hugo Bakker Korff