Lali

29 janvier 2017

Un dimanche avec Alexandre Pouchkine 10

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 20:01

fc robinson 4

Puis il comprit lucidement
Que l’ennui est partout le même,
Le spleen lui pèserait toujours,
Même sans vie à Pétersbourg,
Sans bals, sans cartes, sans poèmes –
comme votre ombre, cet ennui,
Comme une épouse, il vous poursuit.

(extrait d’Eugène Onéguine d’Alexandre Pouchkine)

*toile de Frederick Cayley Robinson

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