Lali

26 janvier 2006

Quand sangs italien et irlandais donnent Satriani

Filed under: Trois petites notes de musique — Lali @ 16:53

satriani

Parce que j’aime les chansons à textes, parce que j’aime la musique classique, je ne devrais pas aimer quelque chose qui vibre autrement ? Vraiment pas.
J’aime trop la vie, j’aime trop découvrir, pour me limiter, pour me cantonner à quelques genres. Il me faut tout explorer. Et combien de musiques, de rythmes, de chansonniers, d’horizons ai-je pu découvrir parce que dans mon entourage on sait que je suis toujours partante pour écouter ?

Il me semble que c’est avec Michel que j’ai partagé le plus intimement la musique. Qu’il m’a ouvert sur des paysages insoupçonnés. Que sans lui je n’aurais jamais eu ce contact privilégié avec la musique celtique, ni une introduction au nouvel âge et encore moins une passion pour les grands guitaristes. De flamenco, bien entendu, mais aussi de classique ou de rock endiablé.

C’est lui qui m’a fait connaître Joe Satriani, il y a quatorze ans. Guitariste fou, technicien incroyable, Satriani dort sûrement avec ses instruments, car je ne crois pas avoir vu de lui une photo où il n’en serre pas une dans ses bras. Si j’aime tous les albums de Satriani, j’avoue avoir une préférence pour The extremist. Et il y a sûrement deux raisons à cela. D’une part, je trouve que cette appellation lui convient très bien: il n’y a pas de tiédeur ou de demi-mesure chez lui. D’autre part, j’ai vu le spectacle qui a suivi la sortie de ce CD le 8 décembre 1992, au Spectrum. Et je dansais encore en sortant de là. Il a injecté quelque chose en moi, c’est forcé. Quelque chose qui ne m’a plus quitté.

Celui-là et quelques autres, je les dois à un guitariste/violoniste. Merci Michel.

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