Douceur d’un dimanche matin
Douceur du jour qui gagne peu à peu sur la nuit et qui se pose sur le livre du lecteur de David Levine qui s’était endormi en le laissant là, sur l’oreiller, pour ce moment où le jour nait. Douceur de la lumière qui fait jaillir les mots, qui éclaire peu à peu la pièce. Douceur d’un dimanche matin lumineux pour un lecteur.

J’imagine que le lecteur apprécie cette douce lueur de ce dimanche matin pour continuer son livre car d’autres dimanches, il doit allumer sa petite lampe mais cela n’a pas le même charme.
Commentaire by Denise Rossetti — 30 décembre 2007 @ 8:56