Comme il me tarde de lire dehors
Comme elle fait envie, la lectrice de Joaquin Sorolla y Bastida à pouvoir lire ainsi, au jardin. Surtout en cette journée où il fait si froid sur Montréal. Si froid qu’on a froid même avant d’avoir mis le nez dehors, parce qu’on sait la griffure mordante sur le visage.
Comme son bonheur fait envie en ce matin où il me tarde de me retrouver dehors à lire et à écrire.
demain, tu viendras dans mon jardin. Tu liras sous la vérenda. Il ne fera pas trop chaud. Tu seras bien. Demain, tu écouteras les oiseaux chanter, n’importe où, quelque part. Tu les entendras !
clem
Comment by clementine — 30 janvier 2007 @ 16:46