Ce que mots vous inspirent 2103
L’art doit toujours surprendre. L’ art ne doit se plier à aucune convention. L’art ne doit jamais donner ce que l’on attend de lui. L’art n’a rien à voir avec le talent. (Tom Stopparo)
*toile de Carle John Blenner
L’art doit toujours surprendre. L’ art ne doit se plier à aucune convention. L’art ne doit jamais donner ce que l’on attend de lui. L’art n’a rien à voir avec le talent. (Tom Stopparo)
*toile de Carle John Blenner
Nos restes
qu’empoigne le coeur
inassouvi de l’histoire
les lignes écharpées
du vide sur nos paumes
la précarité de nos forces
au bord du recommencement
la nuit efface chaque littoral
sans remonter jusqu’à nous
Tu vis en moi
sans t’émouvoir
de la lucidité du sable
en mes yeux
Michel Létourneau, Entailles de la lumière
*choix de la lectrice de Walter Russell
Mike et Rachel aiment tellement la peinture et les musées que les destinations qu’ils choisissent pour leurs vacances doivent compter suffisamment de musées pour qu’ils puisent en visiter au moins un par jour. Ils ont d’ailleurs visité le Musée Marmottan sur mes conseils et y ont fait provision de cartes postales, dont celle-ci.
C’est ainsi que, grâce à eux, j’ai fait connaissance avec le peintre Louis Hippolyte Le Bas, à qui l’on doit cette aquarelle représentant Caroline Murat, la reine de Naples – un tableau accroché dans le salon d’Argent du palais de l’Élysée.
Survivre, c’est une lutte quotidienne pour s’extraire des ruines et avancer vers l’inconnu, quoi qu’il advienne. (Kayla Olson)
*toile de Stéphanie Béliveau
Je te contemple de loin
la distance en nous
creuse ses galeries
reviendras-tu
du tréfonds des jours
empreinte sur la glaise
l’errance de la chair
Michel Létourneau, Entailles de la lumière
*choix de la lectrice de Gilles Sacksick
Tôt ou tard, les silences finissent par faire du bruit. (Claudette Rivest)
*toile de Paul Basilius Barth
J’imagine l’impérissable
lumière de ton épaule
ta voix un battement d’âme
aux confins des salles
le désordre où tu vaques
la nuit étincelante
de nos mots retranchés
Michel Létourneau, Entailles de la lumière
*choix de la lectrice d’Irene Salvatore (dont toute trace a disparu)