Il arrive parfois que certaines cartes postales soient si inspirantes qu’elles me donnent envie d’y entrer. C’est le cas de cette carte vintage mettant en scène une rêveuse, contemplant le paysage qu’on peut admirer du Keltic Lodge, à Ingonsih, en Nouvelle-Écosse. Je crois même que je lui emprunterais volontiers sa jupe!
On n’invente pas de langue en écrivant des grammaires, on écrit des grammaires – du moins les premières qu’on rédige pour une langue – en observant les règles tacites, pour l’essentiel inconscientes, que les gens semblent appliquer quand ils parlent. Mais une fois qu’un livre de grammaire existe, et surtout une fois qu’on l’utilise en classe, les gens estiment que les règles ne sont pas de simples descriptions de leur façon de parler, mais des prescriptions sur la façon dont ils doivent parler. (David Graeber)
*toile de Leslie Graff
J’adore les affiches touristiques d’une autre époque. Celle-ci, de l’illustrateur Robert Falcucci, que m’a envoyée mon amie Silvia, ne pouvait donc que me plaire. Et ce, même si elle ne ressemble guère au souvenir que j’ai d’Annecy. Mais est-ce bien grave?
La fidélité à la vie est souvent plus forte que la fidélité à des idéaux. (Jordi Bonells)
*toile de Richard Beerhorst
Le paquebot Diamant, dans le port de Rotterdam. Quand la taille des paquebots n’était pas démesurée…
Une carte non signée et non datée envoyée à Laurence, résidant à la cité du Pont, à Lyon. J’adore,
Un baiser de Saint-Dizier, le berceau des crèmes glacées Miko qu’on mangeait dans les cinémas français. Une découverte qui date de 40 ans lors d’une pause pendant le très long film de Lelouch, Les uns et les autres, vu en salle à Créteil.
Une carte autour du « cha ». Chats, champagne et peut-être cha cha dans quelques minutes. Une carte envoyée à Charlotte en 1909.
Pour quelle raison cette carte de félicitations a-t-elle été envoyée à Martha en 1905? Seule une personne lisant l’allemand et habile à déchiffrer la calligraphie de l’expéditeur, ou expéditrice, pourra nous le dire.
