Les plumes
Coup de cœur pour cette jolie scène portant sur la correspondance, une carte postale envoyée d’Allemagne qui me va si bien!
Coup de cœur pour cette jolie scène portant sur la correspondance, une carte postale envoyée d’Allemagne qui me va si bien!
Autrefois, nous ne formions qu’un corps;
Et puis tu fus l’amant,
Et moi, une amante désespérée;
Maintenant, tu es l’époux,
Je suis l’épouse. Quoi d’autre?
De ma vie misérable, dure comme un diamant,
Voilà le fruit!
Amaru, La Centurie
*choix de la lectrice d’Antonio Bueno
C’est dans le salon au divan que se termine notre visite du palais de Peterhof. Une visite que vous pourrez poursuivre ici si vous en avez envie, afin d’en voir l’extérieur et les jardins.
La salle à dessin bleue du palais de Peterhof semble avoir changé de vocation. A-t-elle servi jadis au peintre Pietro Rotari ou à d’autres qui peignirent les membres de la famille impériale?
La salle du secrétaire me laisse songeuse. S’agit-il d’un meuble ou d’une personne? Et si on parle de quelqu’un, quelles étaient ses tâches au palais de Peterhof?
S’il y a une salle de banquet blanche, celle-ci en l’occurrence, est-ce que cela signifie qu’il y en a d’autres couleurs?
La carte postale indique qu’il s’agirait ici d’une pièce qu’il s’appellerait la salle des présences. Est-ce vraiment la bonne traduction? Si oui, servait-il à accueillir les visiteurs afin qu’on puisse noter leur présence au palais?
Le hall au décor inspiré par la Chine met, entre autres, en vedette des toiles qui on été restaurées entre 1970 et 1972, et laquées à nouveau par la même occasion.
Le printemps est à nos portes, dit-on. Je veux y croire, malgré les flocons des derniers jours, malgré le froid qui tarde à nous quitter. J’ai si hâte de lire dehors, comme le fait la lectrice peinte par Antonio Canella, qui s’est installée au pays de Lali pour la semaine. Le temps que vous nous la racontiez en vos mots, comme vous le faites depuis onze ans déjà.
Ce n’est que dimanche prochain que les commentaires déposés d’ici là seront validés. Comme je viens de le faire pour les poèmes inspirés par l’illustration de dimanche dernier, que je vous invite d’ailleurs à lire.
D’ici là, souhaitons que le printemps prendra ses aises chez moi comme il le fait déjà ailleurs!