
Le printemps est à nos portes, dit-on. Je veux y croire, malgré les flocons des derniers jours, malgré le froid qui tarde à nous quitter. J’ai si hâte de lire dehors, comme le fait la lectrice peinte par Antonio Canella, qui s’est installée au pays de Lali pour la semaine. Le temps que vous nous la racontiez en vos mots, comme vous le faites depuis onze ans déjà.
Ce n’est que dimanche prochain que les commentaires déposés d’ici là seront validés. Comme je viens de le faire pour les poèmes inspirés par l’illustration de dimanche dernier, que je vous invite d’ailleurs à lire.
D’ici là, souhaitons que le printemps prendra ses aises chez moi comme il le fait déjà ailleurs!