Un peu de chaleur 7
Toute matière, quand la chaleur lui défaut, demeure oisive et immobile. (Jacques Amyot)
*toile de P. J. Crook
Toute matière, quand la chaleur lui défaut, demeure oisive et immobile. (Jacques Amyot)
*toile de P. J. Crook
C’est en cherchant la lumière par soi-même, que la chaleur se posera sur nous. (Miguel Moreau)
*toile de Fred Cress
Prendre la place du lecteur peint par Carolyn Epperly vous plairait? C’est ce propose En vos mots. En effet, dimanche après dimanche, depuis plus de huit ans, des toiles, des illustrations et des sculpture vous sont proposées afin que vous leur prêtiez vie, que vous nous racontiez ce qu’elles évoquent ou que vous vous glissiez en elles pour nous parler de vous.
Vous laisserez-vous tenter? C’est ce que nous saurons dans sept jours au moment de la validation des textes envoyés. D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous!
Ne te sers pas de la technologie comme d’un substitut à la chaleur humaine. (Doc Childre et Bruce Crye)
*toile de Thomas Couture
Les mots sont comme des graines, ils ont besoin de la lumière de l’esprit et de la chaleur du cœur pour germer. Semés sur un terreau humain fertile ils ont le pouvoir de créer des jardins d’abondance. (Sheyby Wilder)
*toile signée H. M. Cossmann (dont toute trace a disparu)
Les vieux amis sont comme les vieux vins qui, en perdant de leur verdeur et de leur montant, gagnent en chaleur suave. (Charles-Augustin Sainte-Beuve)
*toile d’Édouard-Léon Cortès
Alors que la canicule, qu’elle dure depuis un moment ou qu’elle soit annoncée, est un sujet qui occupe de nombreuses conversations, comme on le constate grâce à cette illustration signée Helen Correll, m’est venue l’idée de détourner un peu le sujet.
En effet, il ne sera pas question de canicule elle-même, mais de chaleur en ce dimanche, en commençant par cette citation de Kressmann Taylor : Il existe un havre où l’on peut toujours savourer une relation authentique : le coin du feu chez un ami auprès duquel on peut se défaire de ses petites vanités et trouver chaleur et compréhension.
Entends le souffle, entends la voix de
violoncelle qui sourd entre les algues et
les éclats d’obus.
Traits tirés des guerres.
Soldats de plomb.
Les grandes lèvres du fleuve parlent de
langue maternelle.
Paul Chanel Malenfant, dans Poètes du Noroît
*choix de la lectrice de Janet Hill
Comme j’aime cette jolie scène de l’illustrateur finlandais Rudolf Koivu, que m’a envoyée Maria. Comment a-t-elle deviné que j’aimais déjà le travail de cet artiste qui a tant travaillé pour la littérature jeunesse?