Merci Patrick
Et comme la lectrice de Mary Ann Flaxman, je retrouve les pages blanches, la possibilité de parler de ceux que j’aime, de ce qui m’est cher, d’inventer des vies aux tableaux, de rêver…
Difficile d’exprimer avec justesse ce manque qui a été le mien les presque 24 heures où j’ai dû rester au bord de l’espace de Lali, inaccessible temporairement. Le temps que les données passent sur un autre site d’hébergement, parce que les serveur sur lequel il était avait les signes avant-coureurs de celui qui va griller ou tout bonnement rendre l’âme. Avec la crainte en moi que tout n’ait pu être sauvé, que des pages et des images disparaissent, que je ne puisse plus avoir accès à certaines fonctions. Mais non. Tout est là. Comme avant. Et plus rapide.
Merci à celui qui a tout a fait.
Merci à Patrick qui, de Charleroi, s’occupait de veiller sur les mots de son amie à 6000 km de là.
Merci à lui de garder toujours aussi belle l’aventure de Lali dont il est l’instigateur, puisque c’est lui qui a choisi le nom en m’offrant mon blog.
Merci à ceux aussi qui ont fait signe par de petits messages. Parfois, ça réchauffe le cœur de savoir que notre absence est remarquée.
Ça y est, je puis rêver à nouveau. Écrire. Me rapprocher de vous tous qui alimentez mes pages.
Comme avant. Et pour longtemps, j’espère.