La carte postale n’est plus toute jeune, mais j’imagine que ce panneau de signalisation indiquant les distances à parcourir pour visiter ces villes de l’État du Maine est toujours là. J’aurais presque envie d’aller vérifier…
La vision que l’on a de soi est toujours approximative : même si l’on a plus ou moins apprivoisé son physique, même si l’on veut bien se reconnaître quelques défauts et quelques qualités. (Jean-Claude Brialy)
Alors que je viens tout juste de valider vos textes qui ont donné vie à la scène livresque de dimanche dernier, que je vous invite d’ailleurs à lire, il est temps de vous proposer autre chose à vous mettre sous la dent.
C’est sur une toile de Marc Chagall que mon choix s’est arrêté, en espérant que celle-ci vous inspirera et vous donnera envie d’écrire quelques lignes, que vous soyez un envosmotiste régulier ou que vous participiez à l’occasion.
Aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain, comme le veut l’habitude, ce qui vous laisse sept jours pour faire vivre ce lecteur.
Le 30 mai 2007 s’éteignait Jean-Claude Brialy. Belle occasion de vous proposer six de ses citations. Et comme nous sommes en pleine saison de jardinage, j’ai choisi de les accompagner de toiles d’Elizabeth Barnett où livres et plantes se côtoient.
Pour débuter, cette citation : Les comédiens ont un langage singulier: ils se souviennent, improvisent, colorent leur mémoire, citent les formules oubliées, inventent même des phrases drôles, cruelles, qui se répètent et deviennent des citations.