Banlieue rouge
Chaque toile de Paul Klee est une découverte, un moment de plaisir, l’occasion de m’émerveiller. Et cette Banlieue rouge est, vous en conviendrez, de toute beauté.
Chaque toile de Paul Klee est une découverte, un moment de plaisir, l’occasion de m’émerveiller. Et cette Banlieue rouge est, vous en conviendrez, de toute beauté.
Le temps de trois cartes postales, arrêtons-nous à Cordes-sur-Ciel, dans le Tarn, qui fait partie des plus beaux villages de France.
On dit que l’artiste et architecte Friedensreich Hundertwasser avait le gris en horreur. Il l’a bien prouvé en utilsant toutes les couleurs sauf le gris dans ses tableaux, notamment celui-ci, qui fait partie de la série Good Morning City. J’adore, rien de moins.
Elles sont nombreuses les villes que je reverrais volontiers si je voyage à nouveau un jour. Et San Francisco fait partie des cinq en tête de liste, même si cette ville n’est plus tout à fait celle de cette carte postale.
Je n’ai jamais été très tentée par les destinations soleil, mais j’avoue que mon amour pour les toucans me donnerait presque envie de me rendre au Costa Rica pour en voir de près…
Pour souligner le 25 avril, je vous propose un arrêt à la Livrairia Ler Devagar, à Lisbonne, et j’en profite pour saluer Armando en cette journée importante pour les Portugais et la démocratie.
Vous avez peut-être pensé à Magritte, tout comme moi, en vous disant que ce tableau vous était inconnu. Et pour cause, car il s’agit d’une toile de l’artiste allemand Michael Sowa. Un envoi de mon amie Sofie.
Alors que je viens à l’instant de valider les textes que vous avez déposés sur la toile de dimanche dernier, que je vous invite à lire et à commenter, je vous propose cette semaine de vous attaquer à une illustration de l’artiste britannique Jess Purser.
Comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain, ce qui vous laisse amplement de faire vivre ce passage tiré des Liaisons dangereuses ou de donner voix à cette lectrice.
D’ici là, profitez bien de la dernière semaine d’avril et retrouvons-nous ici dans une semaine pour prendre connaissance des textes proposés par les envosmotistes.
Je ne me lasserai jamais des coquelicots. Toute carte postale les mettant en vedette est donc toujours la bienvenue, qu’elle me soit envoyée de l’autre bout du pays ou d’Allemagne.
La petite fille au ballon de Bansky n’a plus besoin de présentation. Elle a fait le tour du monde depuis son apparition à Londres il y a 20 ans. Elle fait maintenant partie de ma collection de trésors grâce à Urssula, qui vit à Varsovie et qui m’a envoyée cette carte postale.