L’arbre de Riccardo
Ne jamais cesser de faire des découvertes, tel est, entre autres, l’un des plaisirs reliés aux cartes postales. C’est ainsi que j’ai fait connaissance avec le céramiste italien Riccardo Biavati.
Ne jamais cesser de faire des découvertes, tel est, entre autres, l’un des plaisirs reliés aux cartes postales. C’est ainsi que j’ai fait connaissance avec le céramiste italien Riccardo Biavati.
Depuis que je connais l’existence de Plaizier, je rêve d’entrer dans cette boutique. Bien évidemment, si un jour je revois Bruxelles, je ferai comme ce passant photographié par Camille De Wyse. J’examinerai chaque détail de la vitrine.
Alors que je viens à l’instant de valider les textes déposés sur la toile de dimanche dernier, textes que je vous invite d’ailleurs à lire, je vous propose de faire vivre en vos mots cette scène livresque de l’artiste japonaise Naomi Okubo.
Comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant le prochain accrochage, dans sept jours. Vous avez donc amplement le temps d’examiner la toile sous toutes les coutures avant de laisser votre imagination faire le reste.
C’est avec plaisir que nous vous lirons dans une semaine.
D’ici là, bon dimanche et bonne semaine aux envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent!
Grâce à une carte postale, faire connaissance avec une artiste, une fois de plus. Elle s’appelle Lina Alchimavičienė et elle vit à Vilnius.
Cette mignonne illustration de l’artiste Anita Polkutie n’a pas de titre. Que diriez-vous de lui en trouver un?
Il a tenu le coup pendant 28 ans. Au milieu des graffitis se trouvaient certaines fresques murales exceptionnelles qui ont été prises en photo. Heureusement pour nous, pour ces traces. Et pour ces cartes postales qui continuent de faire le tour du monde.
Mais saviez-vous que Montréal abrite un morceau du mur de Berlin?
Difficile de faire un choix. Est-ce le chapeau ou le téléphone que je préfère?
Le Memorial Theatre de Strayford-upon-Avon a bien changé au fil des ans avant de devenir le Royal Shakespeare Theatre d’aujourd’hui. En 1988, j’y ai vu Much ado about nothing. Inoubliable.
Je n’ai vu que la gare et quelques rues de Charleroi. Le temps de manger une bouchée avant de prendre la route en direction de Redu. Je n’ai donc pas vu le magnifique kiosque à musique du parc reine Astrid qu’une carte postale m’a fait découvrir. Si je fermais les yeux et me télétransportais là-bas, à une autre époque, je suis sûre que j’entendrais une fanfare. Ai-je trop d’imagination?
Je suis fan du travail de l’artiste Silke Leffler. Celles et ceux qui fréquentent le pays de Lali depuis longtemps le savent. Je me devais donc de vous faire voir cette illustration sur carte postale de cette artiste, qui a de l’imagination à revendre.