Si on entrait?
Il y a trois mois, j’avais partagé avec vous une carte postale nous montrant la façade de la Livraria Lello, à Porto. Celle d’aujourd’hui est une invitation à y entrer au risque d’y passer de nombreuses heures…
Il y a trois mois, j’avais partagé avec vous une carte postale nous montrant la façade de la Livraria Lello, à Porto. Celle d’aujourd’hui est une invitation à y entrer au risque d’y passer de nombreuses heures…
J’aime beaucoup les collages et sujets détournés des cartes postales Plonk & Replonk. Pour tout vous dire, je ne m’en lasse pas!
Le temps ne joue un rôle que là où quelqu’un le surveille et dépend de lui. S’il ne reste personne dans ce cas, le temps se fige, disparaît. (Andreï Kourkov)
*toile de Giovanni Gueggia
Le temps d’une carte postale, j’ai eu 21 ans à nouveau et je me suis retrouvée à l’Université de Montréal dans le cadre d’un cours portant sur la littéraire féminine, que donnait Monique Bosco. J’avais tant aimé Agua viva de Clarice Lispector. Aurais-je le même enthousiasme aujourd’hui? Faut-il ne pas relire des livres aimés autrefois pour en conserver intact le souvenir? Je ne sais pas quoi répondre à cette question…
Alos que je viens à l’instant de valider les textes déposés sur l’illustration de dimanche dernier, que je vous invite à lire et à commenter, je vous propose cette semaine de donner vie en vos mots à cette illustration signée Angeles Ruiz, qui a des airs de printemps.
Comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain. Vous avez donc plus que le temps d’écrire quelques lignes afin de nous raconter ce que la scène livresque du jour évoque pour vous.
D’ici là, que les derniers jours du mois de mai soient ensoleillés et inspirants. Et que juin vous donne de multiples occasions de sourire et de vous émouvoir.
Rendez-vous dans une semaine pour la suite!
J’ai appris l’existence de Christiana il y a quelque temps, en raison d’une autre carte postale. Celle qu’a choisie Sofie pour me montrer cette commune hippie qu’elle n’a pas vraiment aimée, notamment en raison de l’odeur qui imprègne les lieux, une senteur que j’ai aussi en horreur, m’a tout de même fair découvrir le travail de l’artiste Marios Orozco. Ce que je ne regrette pas!
Envie d’écrire? Tout ce dont vous avez besoin est là. Une illustration du Japonais Yusuke Yonezu, aussi auteur pour les jeunes.
Vivre, c’est être la lumière de quelqu’un d’autre. (Ito Ogawa)
*illustration de Joey Guidone
J’aime beaucoup les photos de Martina Issler. Pratiquement toutes, mais encore plus celles où livres et lecteurs sont à l’honneur. Vous comprendrez donc que celle-ci est tout à fait dans mes goûts!