Sur les traces de Mérimée
Encore aujourd’hui, toujours en compagnie de Chantal, nous sillonnons Vézelay où s’est arrêté Prosper Mérimée en 1834. Pour lire ce qu’il en dit, il faut aller ici.
Encore aujourd’hui, toujours en compagnie de Chantal, nous sillonnons Vézelay où s’est arrêté Prosper Mérimée en 1834. Pour lire ce qu’il en dit, il faut aller ici.
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Chacune de tes photos Chantal est une poésie!
Comment by Flairjoy — 27 novembre 2008 @ 6:52
Ces mots me touchent Flairjoy. Merci.
N’est-ce pas ce que nous voulons partager ici … des brins de poésie et de rêve… traduire notre petite musique intérieure… le Pays de Lali s’y prête tant !
Comment by chantal — 27 novembre 2008 @ 9:36
Plus je découvre Vézelay, plus je l’aime…
Merci Chantal de nous faire découvrir ce magnifique lieu et son histoire !
Tu as fait de bien belles photos.
Mille mercis !
Comment by Denise — 27 novembre 2008 @ 10:26
Chacune de tes photos Chantal, c’est un rêve …
Comment by Mort Rue — 27 novembre 2008 @ 10:57
De très belles photos, Chantal !
L’arbre tout tordu me plaît particulièrement. On dirait un acacia… ou un robinier…
Pauvre arbre, il a dû souffrir pour se tordre ainsi.
Je pense à un passage de Madame Bovary, un livre que j’ai lu une douzaine de fois, au moins… Flaubert parle d’une vigne tordue. Je vais trouver l’extrait.
« Les jours qu’il faisait beau, elle descendait dans le jardin. La rosée avait laissé sur les choux des guipures d’argent avec de longs fils clairs qui s’étendaient de l’un à l’autre. On n’entendait pas d’oiseaux, tout semblait dormir, l’espalier couvert de paille et la vigne comme un grand serpent malade sous le chaperon du mur, où l’on voyait, en s’approchant, se traîner des cloportes à pattes nombreuses
Comment by agnès — 27 novembre 2008 @ 12:31