La machine à coudre
Machine à coudre Gritzner, vers 1900
Je n’ai jamais eu beaucoup d’intérêt pour la couture. Je sais repriser, coudre un bouton, faire un bord, mais ça s’arrête là. Je me prête à la chose quand j’y suis obligée, et sans aucun plaisir. Mais j’apprécie les vêtements faits avec amour et les belles machines à coudre anciennes comme celle de ma grand-mère. La carte qu’Anémone a choisie pour moi lors de son séjour à Prague est donc tout à fait dans mes goûts!
Avec mon premier salaire, (et je vous parle d’un temps…), j’ai acheté :
– une machine à coudre Omnia (c’était alors La référence) électrique (peuchère) aux multiples possibilités de broderie,
– un poste transistor de renom (qui fonctionne toujours, un brin déglingé, cependant),
– un gros dictionnaire…
On est bien loin des achats actuels. 😉
Nous avons toujours la machine à coudre maternelle de la marque Singer ressemblant à celle de cette carte postale. Il n’y a pas mieux pour coudre les tissus épais.
Comment by LOU — 24 novembre 2017 @ 12:26
Pour moi c’est à peu près pareil. J’aimerais savoir coudre et y trouver du plaisir, réaliser mes vêtements.
Mais non, ce n’est vraiment pas pour moi :(. C’est comme pour le solfège. Je me contente d’admirer le travail des autres. Et de m’obliger quand nécessaire à quelques petites réparations (ce que je devrais d’ailleurs faire aujourd’hui!)
J’ai toutefois flashé pour cette jolie illustration, pour son ambiance et pour ses couleurs, avec le joli costume et le paysage, en plus de la machine ancienne.
Les Tchèques sont connus pour être des techniciens remarquables, et leurs machines à coudre en particulier étaient réputées.
Tout cela a donc justifié mon choix, et je n’ai pas hésité, car il m’a semblé, Lali, que tu serais sensible au charme rustique de cette évocation :).
Comment by Anémone — 17 décembre 2017 @ 10:20