Coûte que coûte
Jamais, peut-être, n’a-t-elle voulu plus qu’aujourd’hui retrouver la mer et lire sur la plage. Faire de cette image dans laquelle elle se projette l’objectif et la raison.
Et tant pis pour les tempêtes et les vents. Coûte que coûte, elle sera la lectrice de la plage.
*sur une toile de Mark Shasha

Quand je vois des images comme celle-là, j’ai envie de devenir compteur de sable. Quoi? C’est un métier comme un autre…
Commentaire by Nuage de bleu — 27 mars 2009 @ 21:51
Moi, je connais de très belles histoires sur les grains de sables…demandez à Lilas !
N’est-ce pas Nuage de bleu ?
Voilà une bien jolie toile qui donne envie de mettre les pieds dans l’eau !
Commentaire by Denise — 28 mars 2009 @ 10:12