Lali

5 décembre 2007

Ce que mots vous inspirent 6

Filed under: Ce que mots vous inspirent,Couleurs et textures — Lali @ 8:00

chernykov

La seule chose qu’on est sûr de ne pas réussir est celle qu’on ne tente pas.
[ Paul-Emile Victor ]

La catégorie Ce que mots vous inspirent est au même titre qu’En vos mots votre tribune. Tous les mercredis.

Une citation, une pensée, quelques vers. Pour vous. Pour ce qu’ils vous suggéreront. Pour ce qu’ils proposent au lecteur de M. Chernykov, qui semble en plein questionnement.

Une phrase sur laquelle vous avez le temps de méditer à votre aise, puisque je ne validerai les commentaires que dans une semaine. Elle est à vous. Pour ce que mots vous inspirent.

3 commentaires »

  1. Yannick Noah

    Ose

    Presque rien, juste à part
    Et venir plus près
    D’autres liens d’autres voix
    Au moins essayer
    L’étincelle qu’on reçoit
    Au premier regard
    L’étincelle vient de toi
    S’envole au hasard
    Et peut tout changer

    Alors… Ose,
    Redonne à ta vie
    Sa vraie valeur

    Ose, ose

    Redonne à ce monde
    Toutes ses couleurs.

    Presque rien, un silence
    Qu’il faut écouter
    Un chemin, une chance
    Qu’on peut partager
    Pas de doute, pas de peur
    Tu peux avancer
    Fais ta route
    Il est l’heure
    Tu dois essayer
    Tu dois tout changer

    Ose,
    Ose
    Redonne à ta vie
    Sa vraie valeur
    Ose,
    Ose
    Redonne à ce monde
    Toutes ses couleurs.

    Tu peux tout changer

    Alors…
    Ose,
    Ose
    Redonne à ta vie
    Sa vraie valeur
    Ose,
    Ose
    Redonne à ce monde
    Toutes ses couleurs.
    Ose,
    Ose
    Redonne à ce monde
    Toutes ses couleurs

    Comment by Denise Rossetti — 5 décembre 2007 @ 10:40

  2. Le vrai échec est de rester dans le doute…

    Comment by Armando — 6 décembre 2007 @ 5:05

  3. Et voilà, encore un monde qui s’ouvre à moi : celui de l’Académie des Arts d’Ukraine où visiblement ils ont continué la peinture du début du vingtième siècle jusqu’à aujourd’hui, en dépit de tout, des la « révolution » culturelle qui a tout applati, des gigantesques massacres, des divers courants d’art contemporain qui ont effacé la figure humaine, ils ont continué à peindre le jardin, la maison, la jeune fille dans son fauteuil, le nu à tout âge, la réflexion, la pensée exprimée en ombre et lumière sur un front, l’espoir, l’amour tout simplement. Je reste ébahie de tant de maîtrise et de beauté. Au risque de me répéter, je suis encore confondue par le travail de notre amie aux yeux verts et lunettes rouges, ceci n’est pas un site, pas un blog, c’est la pensée universelle dans sa transcendance.
    Il y aurait un tableau à faire : une femme au visage bienveillant qui tient le monde dans ses bras comme un enfant. Avec elle, plus de guerres.
    Edith Gorren

    Comment by Edith Gorren — 8 décembre 2007 @ 5:27

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