Au coin de la rue de Bellechasse
Elle est tellement absorbée par son livre qu’elle n’a pas vu l’autobus à un coin de rue de là. Je me demande bien ce qu’elle lisait ainsi…
Elle est tellement absorbée par son livre qu’elle n’a pas vu l’autobus à un coin de rue de là. Je me demande bien ce qu’elle lisait ainsi…
Se terminait aujourd’hui la Foire du livre de Bruxelles qui avait pour invité d’honneur le Québec.
Armando y était. Il en a profité, en plus de faire quelques achats, pour prendre quelques photos pour le pays de Lali. Pour mon plus grand bonheur.
J’aurais bien aimé y être! Pas vous?
Une lectrice si captivée par sa lecture qu’elle n’a pas levé les yeux quand je suis passée près d’elle – ce qui m’aurait peut-être donné l’occasion de voir le titre du livre qu’elle lisait – pas plus qu’elle ne s’est retournée en entendant un clic derrière elle. Elle a dû penser que quelqu’un photographiait les arbres colorés…
Elle avait lu Le petit prince il y a très longtemps et n’en avait gardé qu’un vague souvenir.
Celui de sa seconde lecture risque d’être impérissable.
Si, si, elle me l’a dit.
De loin, elle semblait complètement prise par son livre. De près aussi. Mais j’ai eu le temps de voir qu’elle lisait La délicatesse de David Foenkinos.
Un petit-déjeuner à l’hôtel Thon, rue de la Loi, à Bruxelles. Voici ce que nous propose Armando qui a vu les portes ouvertes et le mur couvert de livres. Ce qui lui a fait penser au pays de Lali.
Évidemment.
C’est dans la vitrine d’une librairie de livres anciens de la rue Sainte-Catherine Ouest qu’on peut lire cette citation de Hrabal. Comme si elle venait tout juste d’être tapée à la machine.
« Des bons livres, il y en a encore et plus que je ne pourrai jamais en lire », peut-on lire sur le tableau noir installé dans la vitrine de la librairie Pantoute, de la rue Saint-Jean, à Québec.
Vous aussi, vous êtes de cet avis?