La citation de Pierre Dac

Rien à ajouter…

Le photographe néerlandais Paul Huf est mieux connu pour ses photographies de mode que pour celles de fleurs. Mais son regard ne l’a pas trompé. Les tulipes posent bien pour lui, comme le font les mannequins. Peut-être même qu’elles dansent.

Quel talent! Quelle complicité! Le duo Fortin-Poirier qui accompagne Pierre Lapointe en tournée, que j’ai eu le bonheur d’entendre il y a un mois, fait partie de mes plus récents bonheurs d’écoute musicale. J’ai donc choisi pour vous et pour la lectrice de John Hardy cette pièce de William Bolcom que les deux pianistes interprètent avec brio, en espérant qu’elle vous plaira autant qu’elle me plait. En fait, je ne m’en lasse pas!

En 1979, nous étions à quelques semaines de nos vacances familiales en Californie. Vacances décidées sur un coup de tête à la suite d’un projet pour un cours de géographie où je devais préparer un voyage de A à Z. Comme tout était fait sur papier, il ne restait plus qu’à le concrétiser, avait affirmé mon père. C’est donc un dimanche soir, alors que nous étions allés voir décoller les avions, que nous nous sommes arrêtés au comptoir d’Air Canada de l’aéroport.
Nous sommes rentrés avec quatre billets d’avion à destination de San Francisco. Nous allions revoir Mickey et Minnie à Disneyland, sept ans après les avoir croisés à Disney World.
Comment ne pas faire surgir du passé ce souvenir devant cette carte postale?

J’ai sûrement vu Harvard House quand j’ai passé une journée à Stratford-upon-Avon, où est né William Shakespeare. Mais comme les maisons à colombages sont nombreuses dans cette ville du Warwickshire, difficile d’affirmer que tel est le cas!

Parce que c’est aujourd’hui la fête des Mères au Portugal et que ce sera le tour de la Belgique et du Canada de souligner ce jour dans une semaine, j’ai choisi pour vous ce tableau de l’artiste Cyril Harris mettant en scène une mère et ses filles.
À vous maintenant de le faire vivre en vos mots, comme vous le faites si bien semaine après semaine depuis 18 ans. Comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain, Vous avez donc plus que le temps de lire les textes déposés sur la scène livresque de dimanche dernier, de commenter ceux-ci si vous le souhaitez, et d’écrire quelques lignes. C’est avec plaisir que nous vous lirons.
Retrouvons-nous dans une semaine pour la suite!









Il les regarde lire et il les peint. Il s’appelle Hans Versfeldt. C’est le peintre vedette de ce samedi après-midi.

Ce tableau de Vincent van Gogh fait partie de ceux qu’il a peints à Auvers-sur-Oise au cours des quatre semaines très productives qui ont précédé sa mort. Savail-il que la fin approchait? Saurons-nous un jour la vérité sur ce qui semble être un accident fatal plutôt qu’un suicide? Les historiens comme les experts de toutes sortes continuent d’échafauder des théories.
Pour ma part, je continue d’être touchée par chacune des toiles de cet artiste qui nous a quittés bien trop tôt. Et vous offrir cette carte postale, c’est aussi vous inviter à (re)lire ce billet.

Je suis toujours heureuse de trouver des cartes postales insérées entre les pages de livres que je déménage. Je me dis qu’elles ont servi de signets lors de leur réception. Comme celle-ci. Laquelle est la toute première carte postale que m’a envoyée mon ami Armando en juin 2007, soit deux mois avant son premier voyage au Québec et notre rencontre, alors que nous avions commencé à échanger sur un forum.
Pourquoi a-t-il choisi cette vue de la fontaine de Largo da porta de Moura, à Évora, dont le centre historique fait partie du Patrimoine mondial de l’Unesco? À lui de nous le dire. S’il veut, bien sûr.