Lali

22 avril 2018

Un dimanche au palais 4

Filed under: La carte postale du jour — Lali @ 6:01

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Il n’y a pas de couronne en évidence dans la salle de la couronne. Était-elle sur la table ou ailleurs à l’époque de Yury Velten qui lui a donné sa touche définitive?

Un dimanche au palais 3

Filed under: La carte postale du jour — Lali @ 4:01

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La salle des portraits du palais de Peterhof est impressionnante. Conçu d’abord par Johann-Friedrich Braunstein et Jean-Baptiste Le Blond, elle fut par la suite remaniée par Bartolommeo Francesco Rastrelli et Jan-Baptiste Vallin de la Mothe afin de mettre en valeur une centaine de portraits réalisés par le peintre italien Pietro Rotari.

Un dimanche au palais 2

Filed under: La carte postale du jour — Lali @ 2:01

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Entrons maintenant dans la salle aux perdrix, qui tire son nom du motif des tentures et de la tapisserie de soie, une création de Philippe de La Salle.

Un dimanche au palais 1

Filed under: La carte postale du jour — Lali @ 0:01

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Un blogue, c’est un lieu à soi, un lieu qui nous ressemble et qu’on façonne selon ses goûts, ses coups de cœur, son inspiration du moment, et parfois même ses rêves. Un blogue, c’est peu-être aussi le seul lieu où il est possible de vivre sans règles imposées autres que les siennes. C’est probablement pourquoi j’aime à penser que le pays de Lali est le pays de la liberté, que je réinvente jour après jour pour le plaisir de le faire.

***

En ce dimanche, quittons Montréal et envolons-nous pour la Russie de Pierre le Grand et de son magnifique palais d’été, à Peterhof, à 25 km de Saint-Pétersbourg, ouvert au public, afin que je puisse partager avec vous quelques cartes postales que j’ai dénichées il y a quelques semaines, et vous donner à rêver.

Commençons par cette salle dite « standard », conçue par Bartolommeo Francesco Rastrelli, entre 1747 et 1749, qui n’a rien de standard tant elle est exceptionnelle.

21 avril 2018

Les poèmes d’Amaru 3

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 23:59

BOTERO (Fernando) - 21

Elle a vu qu’ils étaient seuls dans la chambre,
Elle s’est lentement redressée sur le lit;
Alors qu’il feignait le sommeil,
Elle a longuement contemplé le visage de son époux;
Sans retenue, elle lui a donné un ardent baiser.
Quand elle a vu
Frémir la saillie de sa joue,
La jeune femme, honteuse, a baissé la tête :
Son bien-aimé l’a embrassée en riant.

Amaru, La Centurie

*choix de la lectrice de Fernando Botero

De jolis volets

Filed under: La carte postale du jour — Lali @ 12:00

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(photo d’Alessandrini, 1987)

Nous n’avons pas de volets au Québec. Mais si nous en avions, je les voudrais aussi colorés que ceux-ci!

20 avril 2018

Les poèmes d’Amaru 2

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 23:59

BORMANN (Lisa) - 8

Sa colère apaisée, elle tint dans ses mains
La lune de son visage
J’avais tout épuisé,
Mon seul refuge était de tomber à ses pieds
Contenues jusqu’alors au-dedans des paupières,
En foule se pressant à la frange des cils,
D’un coup ses larmes dévalèrent
La pente de ses seins, proclamant mon pardon.

Amaru, La Centurie

*choix de la lectrice de Lisa Bormann

Le violon décoré

Filed under: La carte postale du jour — Lali @ 12:00

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Violon décoré (Norvège) – photo d’Hervé Hughes

Quand un signet emballé dans une enveloppe à sa taille, fabriquée spécialement pour faire le voyage outremer, tient lieu de carte postale, on ne peut que féliciter les postes qui ont pris bien soin de cet envoi de Muriel-Cécile, une des lectrices du pays de Lali depuis longtemps.

Ce que mots vous inspirent 2203

Filed under: Ce que mots vous inspirent,Couleurs et textures — Lali @ 8:00

BUNNY (Rupert) - 7

Nul ne peut vous blesser plus cruellement que les personnes que vous aimez. (Ransom Riggs)

*toile de Rupert Bunny

19 avril 2018

Les poèmes d’Amaru 1

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 23:59

BOOKOFF (Allen) - 2

L’amant est venu dans le lit,
La boucle s’est déliée d’elle-même à l’instant;
La robe, retenue par un cordon défait,
N’a plus que recouvert légèrement les reins.
Voilà tout, mon amie, ce que je me rappelle
Du moment où mon corps était uni au sien;
Mais qui il était, qui j’étais,
Ce que fut le plaisir,
Il ne m’en reste pas le moindre souvenir.

Amaru, La Centurie

*choix de la lectrice d’Allen Bookoff

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