Les vers de Louise L. 5
rien ne nous protège
je souhaite arrêter un moment
le prendre le ranger dans la mémoire
j’écris dans le bruit des bandes magnétiques
un iris de deux jours flamboie dans le vase
la nuit tombe
je suis attentive au déplacement de la lumière
Louise Larose, Mortelle et corps perdus
*choix de la lectrice d’Olga Boznanska