Lali

19 juillet 2007

Chose promise, chose due

Filed under: Signé Armando,Vos traces — Lali @ 22:54

coquelicots_portugal

Spécialement pour Denise, mais pour nous tous surtout, ces coquelicots portugais dans toute leur splendeur photographiés par Armando. Pour moi qui adorrrrrrrrrrre le rouge, c’est un cadeau magnifique!

Je l’avais prédit

Filed under: États d'âme,Couleurs et textures — Lali @ 22:47

dai

Je savais qu’elle serait belle, je l’avais prédit ce matin. Et comme j’ai aimé cette journée! De belles photos de Denise, l’admiration de tous devant la vitrine photographiée par Armando, Nancy contente de mon petit billet qui lui est dédié, une longue révision laborieuse enfin terminée, une conversation téléphonique avec Denis pour concocter notre samedi à la campagne, quelques nouvelles toiles pour ma provision pour les mois à venir, des Popsicles au congélateur et un livre qui m’attend et qui me rendra aussi rêveuse que la lectrice de Saied Dai. Et si je tiens bon, quelques billets pour ceux qui se lèveront bien avant que je ne le fasse.

Je décrète que ce sera une belle journée

Filed under: États d'âme,Couleurs et textures — Lali @ 8:22

wh

Le café était bon. La toile d’En vos mots a déjà inspiré cinq personnes. J’ai une nouvelle lectrice à Bruxelles. J’ai plein de photos en banque à partager avec vous. Aucune nouvelle que pourra lire la lectrice de Willem Haenraets ne pourra être mauvaise. Je décrète que ce sera une belle journée.

La lectrice sur un banc

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 7:46

gotteri

J’adore les bancs de parc. Depuis longtemps, depuis toujours. S’il y en a un sur mon chemin, il est presque certain que je m’y arrêterai. La vie a un autre angle quand je suis assise sur un banc. Le livre n’a plus les mêmes couleurs. Et il y a autour tous ces personnages qui se présentent, dont je devine les rêves, dont je perçois la tristesse ou qui me font sourire. Oui, comme la vie est douce sur un banc de parc. Il suffit de regarder la lectrice d’Isabelle Gotteri pour s’en assurer si jamais nous avions des doutes.

Chez l’oculiste

Filed under: Scènes livresques,Signé Armando,Vos traces — Lali @ 7:28

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Ils attendaient la visite d’Armando, installés dans la vitrine d’un oculiste bruxellois. Chacun lui souriant, faisant le beau, posant comme un mannequin ou ne s’intéressant pas tout à lui, bien trop occupés à lire. Et ils ont traversé l’océan pour s’éparpiller autour du monde grâce à lui.

18 juillet 2007

Bruxelles s’éveille

Filed under: Mes histoires belges,Signé Armando,Vos traces — Lali @ 23:52

joursurbruxelles

Bruxelles s’éveille. C’est l’heure où Armando est souvent dehors à mitrailler la beauté, avec cette lumière qui n’est propre qu’au lever du jour.

Montréal s’endort. C’est l’heure où Lali va aller rêver aux photos de Denise, de Géraldine, de Michèle et d’Armando.

Et pour mieux profiter de la photo, au choix : Bruxelles de Jacques Brel, de Calogero, de Benabar, de Dick Annegarn ou de Marie Warnant, ou bien, dépendamment de l’humeur du ciel, Il pleut sur Bruxelles de Dalida.

La lectrice de l’île de Vancouver

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 21:41

nathan scott

Elle s’est arrêtée sur ce banc en sortant de la bibliothèque il y a de cela des années et elle n’a pu quitter le livre qu’elle lisait, si bien que la lectrice de Nathan Scott est désormais figée, condamnée à lire la même page jusqu’à la fin des temps. À moins que quelqu’un, de temps, pense à tourner la page pour elle ?

Faut-il commencer par le bleu ?

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 21:23

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Faut-il commencer par le bleu quand on écrit ou on peint ? Faut-il d’abord illuminer la toile et la page blanche de ciels ou d’univers bleus avant d’y poser là les personnages et les paysages et leurs couleurs ? Faut-il du bleu pour imaginer l’histoire qui va s’installer dans le décor d’un tableau ou d’un carnet ? J’aime le penser, moi qui aime tant voir au delà des nuages le ciel plus bleu que bleu. Moi qui n’ajoute pas de gris pour rien, quand la palette de couleurs qu’offre la vie est bien plus intéressante. Moi, qui, telle celle qui écrit peinte par Dale Topsom rêve du bleu d’un océan à portée de ses pas.

Le poète voyageur

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 21:01

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C’était peut-être un de ses modèles. Ou tout bonnement son fils. Mais je ne veux pas le savoir. Je préfère penser qu’il s’agit ici d’un poète doublé d’un amateur d’art et que celui-ci s’est arrêté un jour dans l’atelier du peintre canadien Joseph Plaskett du temps de sa vie parisienne. Que les deux hommes ont sympathisé, que l’aîné a vu dans le plus jeune un peu de ce qu’il était au même âge. Que malgré les années qui les séparaient ils se sont reconnus. Peut-être au point de se sentir frères. Que celui qui écrivait était si bien au pays des toiles qu’il s’est un peu attardé. Que l’homme aux pinceaux qui aimait les livres a mis sur toile quelques souvenirs de cet après-midi qui ne reviendrait plus, mais qui avait scellé l’amitié à tout jamais. Et qu’aujourd’hui encore, des années plus tard, le peintre reçoit parfois une carte postale d’un poète voyageur qui s’est arrêté dans un autre atelier.

La traversée

Filed under: Couleurs et textures — Lali @ 20:33

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La traversée peut paraître longue, voire même quasi interminable, puisque le lecteur de Hans Ludwig Fischer a décidé de partir à la conquête de l’Orient, d’aller au bout monde s’imprégner d’odeurs envoûtantes, de couleurs chatoyantes et de saveurs renversantes.

La traversée pourra être longue pour d’autres. Mais pas pour lui. Il a de quoi lire pour les semaines à venir. Ces romans qui se déroulent au pays du Soleil levant. Ces guides pour saisir l’essentiel de ce qui l’attend.

La traversée passera trop vite. Il en est toujours ainsi quand un lecteur est bien accompagné.

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