Nénuphar belge
J’irai au hasard dans ma réserve de photos, comme je vais au hasard dans ma galerie de toiles. Parce qu’au moment où je choisis l’une ou l’autre, c’est que celle-là s’impose à moi. Sans raison ou pour de multiples raisons.
Le nénuphar belge de Phil se devait d’être ma façon, en entamant ma journée, de lui dire que je ne suis pas loin. Que l’amitié se fout bien des kilomètres. Et que novembre, c’est tout près, pour celui qui reviendra dans ce pays qu’il aime tant et qui est le mien. Vraiment tout près.











