Chose promise, chose due
Spécialement pour Denise, mais pour nous tous surtout, ces coquelicots portugais dans toute leur splendeur photographiés par Armando. Pour moi qui adorrrrrrrrrrre le rouge, c’est un cadeau magnifique!
Spécialement pour Denise, mais pour nous tous surtout, ces coquelicots portugais dans toute leur splendeur photographiés par Armando. Pour moi qui adorrrrrrrrrrre le rouge, c’est un cadeau magnifique!
Je savais qu’elle serait belle, je l’avais prédit ce matin. Et comme j’ai aimé cette journée! De belles photos de Denise, l’admiration de tous devant la vitrine photographiée par Armando, Nancy contente de mon petit billet qui lui est dédié, une longue révision laborieuse enfin terminée, une conversation téléphonique avec Denis pour concocter notre samedi à la campagne, quelques nouvelles toiles pour ma provision pour les mois à venir, des Popsicles au congélateur et un livre qui m’attend et qui me rendra aussi rêveuse que la lectrice de Saied Dai. Et si je tiens bon, quelques billets pour ceux qui se lèveront bien avant que je ne le fasse.
Le café était bon. La toile d’En vos mots a déjà inspiré cinq personnes. J’ai une nouvelle lectrice à Bruxelles. J’ai plein de photos en banque à partager avec vous. Aucune nouvelle que pourra lire la lectrice de Willem Haenraets ne pourra être mauvaise. Je décrète que ce sera une belle journée.
J’adore les bancs de parc. Depuis longtemps, depuis toujours. S’il y en a un sur mon chemin, il est presque certain que je m’y arrêterai. La vie a un autre angle quand je suis assise sur un banc. Le livre n’a plus les mêmes couleurs. Et il y a autour tous ces personnages qui se présentent, dont je devine les rêves, dont je perçois la tristesse ou qui me font sourire. Oui, comme la vie est douce sur un banc de parc. Il suffit de regarder la lectrice d’Isabelle Gotteri pour s’en assurer si jamais nous avions des doutes.







Ils attendaient la visite d’Armando, installés dans la vitrine d’un oculiste bruxellois. Chacun lui souriant, faisant le beau, posant comme un mannequin ou ne s’intéressant pas tout à lui, bien trop occupés à lire. Et ils ont traversé l’océan pour s’éparpiller autour du monde grâce à lui.