Le regard juste et sensible de Nina Berberova
Nina Berberova avait 84 ans quand parut L’accompagnatrice qui a fait sa renommée, tout autant que son autobiographie C’est moi qui souligne, quatre ans plus tard. Et pourtant son œuvre reste encore méconnue ou trop peu connue, alors qu’il y a là des richesses et un pan de l’histoire des immigrés russes à Paris qui ne demande qu’à être ouvert. Comme ce court roman intitulé De cape et de larmes que certains pourraient trouver triste et misérabiliste, qui dépeint une situation (la Russie en 1920) dont Sacha, l’héroïne, pensera sortir en s’exilant avec son père à Paris.
Un regard sensible, juste, comme c’est toujours le cas quand il s’agit de Berberova.
J’aime beaucoup Nina Berberova,je n’ai pas lu ce récit en particulier, j’ai aimé aussi son livre sur Tchaikovski et son autobiographie » C’est moi qui souligne »
bonne journée Lali
Comment by Dominique — 5 janvier 2010 @ 2:32