Incapable de déposer son livre
Une fois de plus, il a été incapable de déposer son livre. Comme si le fait de savoir que le lendemain il pourra dormir avait effacé toute trace de fatigue. Et le lecteur de Georg Friedrich Kersting est entré dans une nuit qui durera jusqu’aux lueurs du jour. On n’abandonne pas Voltaire ou Rousseau facilement.