Duke Ellington interprétant Black Beauty
*choix des personnages de Baldino
Duke Ellington et son orchestre interprétant I don’t mean a thing
*choix de la musicienne de Joseph Wright of Derby
Duke Ellington interprétant Things Ain’t What They Used To Be
*choix des personnages de Francis Sydney Muschamp
Duke Ellington et Ivie Ivy Anderson interprétant I Got It Bad And That Ain’t Good
*choix de la musicienne par par Peter Nicolai Arbo
Comme le grand Duke Ellington est né le 29 avril 1899 et que nous sommes le 28, la pianiste peinte par Sergey Reznichenko et quelques autres musiciens ont choisi de sortir leurs partitions (car il y a toujours du papier au pays de Lali) afin de vous offrir des pièces de son répertoire question de lui rendre hommage en ce dimanche, en commençant par Take the « A » Train.
Il y avait si peu de place pour elle. Il est vrai que Cesaria Evora en prenait beaucoup. Titina n’était pourtant pas moins talentueuse que son aînée comme le prouve Portrait, paru en 2012 qui réunit des titres des années 60 et 70 d’une part et ses succès des vingt dernières années d’autre part. Le résultat est un album sympathique et entraînant qui nous montre une artiste qui sait jouer de nuances et faire corps avec les chœurs. Vous ne vous lasserez pas.
Voici donc Marchia de Oriundo :
et Alô, Alô São Vicente :
C’est ce que je vous propose avec cet album d’Astorias, groupe formé par le bandonéiste québécois Denis Plante, ce musicien accompli que je vous ai fait découvrir il y a quelques semaines. Un album inspiré par Roméo et Juliette, lesquels sont devenus le temps de celui-ci les héros d’un tango.
Voici donc Amour libre :
et Vanité :
En ce samedi ensoleillé qui ressemble enfin au printemps, me vient l’envie d’écouter Richard Bona, artiste camerounais que m’a fait découvrir mon amie Lucie. Celui qu’on a pu entendre sur des disques de Jacques Higelin, Pat Metheny, George Benson et bien d’autres, avec Munia. The Tale, datant de 2003, rend un vibrant hommage à Miles Davis avec A Painting to a wish :
tout en ne mettant en valeur dans ce magnifique album l’Afrique de ses racines, notamment dans Balemba na bwemba :
De quoi attirer le soleil où que vous soyez!
Chris Botti interprétant l’andante de la Sonate no.2 en la mineur de Johann Sebastian Bach.
*toile d’Armand Guillaumin