Un dimanche avec Villa-Lobos 2
Quatuor à cordes no 1, I-III d’Heitor Villa-Lobos, interprété par le Cuarteto Latinoamericano
*pour la musicienne du peintre hollandais Cornelis Pietersz Bega
Quatuor à cordes no 1, I-III d’Heitor Villa-Lobos, interprété par le Cuarteto Latinoamericano
*pour la musicienne du peintre hollandais Cornelis Pietersz Bega
Le 17 novembre 1959 s’éteignait le compositeur brésilien Heitor Villa-Lobos, mais pas sa musique. Et pour la faire vivre à plein, la pianiste peinte par John Singer Sargent a décidé de partager en ce dimanche avec d’autres musiciens quelques-unes de ses pièces, des plus connues à celles qu’on entend trop rarement, notamment Prole do bebe, dans une interprétation de Marc-André Hamelin.
Puisse ce dimanche être aussi agréable à écouter qu’il l’a été à le préparer.
Il a conquis tous ceux qui étaient au Monument national en novembre 2012, même s’ils ont trouvé qu’il avait laissé trop de place à Salomé Leclerc, invitée pour réchauffer la salle de sa voix quelque peu fluette. Il les a conquis à nouveau en octobre dernier alors que l’Orchestre symphonique de Montréal dirigé pour l’occasion par Simon Leclerc a accompagné l’artiste, ses musiciens et choristes.
Mais Adam Cohen a préféré en 2012 se consacrer aux chansons de son magnifique opus Like a Man et en 2013 à plusieurs titres tout nouveaux dont il vient tout juste de terminer l’enregistrement à Montréal, plutôt que de nous chanter un ou deux titres en français de Mélancolista. Un album peut-être pas parfait, mais sympathique et chaleureux, à l’image de l’artiste sans prétention qui est en train de laisser sa marque et dont j’ai envie cet après-midi de vous offrir deux titres.
Métro Mélancolie
New York c’était
Nocturne en si majeur, Opus 62, No 1 interprété par Claudio Aarau
*toile de William Worcester Churchill
Nocturne en mi bémol majeur, Opus 5, No 2 interprété par Claudio Aarau
*toile de William Quiller Orchardson
Nocturne en do dièse mineur, Opus 27, No 1 interprété par Claudio Aarau
*toile de Wladyslaw Czachorski