Ce que mots vous inspirent 1643
Tout est changement, non pour être, mais pour devenir ce qui n’est pas encore. (Épictète)
*toile de Charles Baugniet
Tout est changement, non pour être, mais pour devenir ce qui n’est pas encore. (Épictète)
*toile de Charles Baugniet
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Un peu de nous. J’écris, j’écris,
Pose ma Plume et lis, relis.
Peut m’importe si je suis lu,
Là, pose Émotions vécues.
Suis point un Grand d’Écriture,
Mais tout coule sans une rature.
Par contre aime Grands Écrivains,
Ceux qui n’écrivent point en vain.
De là, je les vois écrire,
Parfois happe un bruit, un rire.
Théophraste sur le marché,
Où marchande de lui moquée.
Montaigne, parlant son vécu,
A mal aux reins, mal au cul.
Belle Li Qingzhao, y à Mille ans,
Entre deux verres, pleure son Amant.
Epictète : désire tes désirs,
Quand à tes craintes à bannir.
Sculptant buste Marie Arouet,
Lui, filant soie à Ferney.
Moi? Entre deux, l’Intendance.
Que vais-je bien faire comme cuistance ?
Hep ! Chatte ! On bouffe pas souris,
A mes pieds sur le tapis !
Peut-être veux-tu m’inviter,
A partager ton dîner ?
Qu’en pensera quelconque Lecteur ?
Menus tracas de l’Auteur ?
Ça sent le roussi ! Bizarre.
Ai cramé l’omelette au lard.
Peut-être fais-je point de rature,
Mais, oh combien de bavures.
De ma Belle, j’entends le rire,
Et entend encore me dire,
Chère voix d’une Future Aïeule :
« Vois d’ici si t’étais seul ! »
Plus ton Ombre pour m’éclairer,
Retournée au Pays des Fées.
Un peu de nous, j’écris, j’écris,
Pose ma Plume et lis, relis.
Peut m’importe si je suis lu.
N’esr que devenirs vécus.
Pierre
Commentaire by 10Douze27 — 24 février 2016 @ 15:36